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Quand nos propres désirs nous ensorcèlent
1 décembre 2013

Platon

Dans le livre Le Désir, de Fabien Lamouche, on retrouve quelques textes commentés. Dont, quelques-uns de Platon, donc voici les points importants que j’ai retenus pour ma recherche. 

Texte 1, p.16

  • Discussion sur le désir et l’amour, entre Socrate et Agathon. Tiré de l’œuvre de Platon, Le Banquet.
  • Platon affirme que le désir est relié à ce qui nous manque, il relit de désir au besoin 
  • L’objection qui est apportée a cette affirmation, implique que, selon Platon, nous ne pouvons désirer ce que nous avons déjà.
  • Donc l’objet que l’on désir doit être ni présent nu dans notre réel.
  • Sa fonction est de nous inciter à combler un manque 

Texte 7, p.32

  • Texte de l’œuvre de Platon, Phédon
  • Dans ce texte, Platon affirme la dualité entre le corps et l’âme. C’est l’âme qui nous empêche d’atteindre le « vrai ».
  • C’est donc les désirs qui sont issus de notre corps qui sont pour Platon, ce qui nous fait accomplir des actes mauvais.
  • Ce sont ces désirs, qui empêchent le plus grand désir de l’âme de s’épanouir, c’est à dire la vérité.
  • C’est aussi en oubliant ces désirs que l’on peut « bien » penser

Texte 19, p.63

  • Le mythe de l’attelage, de Platon, dans l’œuvre Phèdre
  • C’est dans ce mythe que Platon distingue ses trois parties de l’âme
  • Les trois parties sont représenter par, le cocher, le cheval blanc ainsi que le cheval noir. Ils représentent respectivement, le principe intellectif, le principe irascible et le principeconcupiscble.
  • Le principe intellectif est celui qui connait le bien, ce qui veut dire qu’il doit suivre l’âme et non les demandes du corps.
  • Le premier cheval, le principe irascible, représente le courage, ce cheval est beau, droit.
  • Le second cheval représente la partie de l’âme qui est liée au corps, il est costaud et massif. Il est sourd aux ordres du cochet, il n’écoute donc pas la partie de l’âme intellective. De plus, il est insensible au cheval a ses cotés, il écoute que lui-même.
  • Selon Platon, la maitrise de nos désirs est essentielle en la politique, pour obtenir la cité parfaite. 
  • C’est seulement ceux qui connaitront le bien, le vrai, qui pourront utiliser leurs désirs, pour prendre les dessinions dans la cité.

Texte 20, p.65

  • Texte sur les passions tiré de l’œuvre, Gorgias
  • Discussion entre Caliclès et Socrate.
  • Il discute sur la vraie intelligence, celle que l’on met sur l’accomplissement de nos désirs.
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